Deutsche Reichstagsakten, Jüngere Reihe. Reichstagsakten unter Kaiser Karl V., XI. Band. Der Reichstag zu Regensburg 1541 bearbeitet von Albrecht P. Luttenberger, für den Druck vorbereitet von Christiane Neerfeld

A  Wien, HHStA, Belgien 31/4, fol. 279r–284r (Kop.) 1; AV v. a. Hd. fol. 279r: 14. Janv[ier] 1541, en minute et au net.

B  koll. Brüssel AG, Papiers d’Etat 91, fol. 1r–8r (Kop. des 18. Jhdt.).

Druck: Ganzer/Zur Mühlen, Akten, Bd. 2,2, Nr. 430 C, S. 1294–1298; Pfeilschifter, Acta reformationis catholicae, Bd. III, Nr. 105 C, S. 350–355.

Depuis que j’escripvis à votre Mté du 11. du présent j’ay tellement travaillé, que aujourd’hui s’est commencé le colloquio entre les catholiques et protestans présens les commis des présidens et moy et y a l’on esté dois les huit heures jusques à unze et dois les trois du vespre jusques à cinq. Et seullement ont parlé le docteur Eckius pour lesdits catholiques et Melancthon pour l’autre partie et se sont maintenus assez paisiblement, combien qu’il eschappe quelques mots, que je vouldroye se délaissassent, et leur ay remonstré particulièrement et fait dire et fais tout ce que je puis, afin que la modestie se garde des deux coustelz et que riens se délaisse de ce que peult servir pour notredite partie. Et certes il est plus que besoing que je y tienne la main, car tous lesdits protestans sont tant de jour que de nuyt veillans pour comprouver et justiffier leur confession et appologie et de l’autre part le soing n’y est si grand à beaucoup prèz.

Et comme qu’il en soit, Sire, je feroy tout ce que en moy sera pour continuer cedit colloquio, jusque j’aye response de votredite Mté à mes dernières lettres, et, que ce soit sans aigreur entre lesdites parties, n’y riens délaisser, que serve à la cause des dits catholiques. Et pense, que quoique ladite response vienne en brief, que lesdits protestans se saouleront de la dispute et congnoistront, que par ce moien et avec si grande assemblée l’on ne pourroit venir à concorde et que ilz ne gaigneront riens par ce boult, comme ilz ont pensé et s’en sont tousjours gloriffié. Et si aura l’on gaigné ce poinct, qui est très grant en cest endroit, de non procéder à pluralité des voix et que les vingtdeux n’auront liberté de parler, comme lesdits protestans ont tousjours persisté prenans le recèz de Hagnau à leur advantaige, et si sera occasion pour les faire plus enclins à traicter par quelques dépputéz des deux coustelz, que conviendra à la practique, qu’est en terme, dont j’ay encores dernièrement escript à votredite M. Et avec ce, Sire, se pourra fonder le recès de ceste congrégacion pour remectre lesdites parties en tel estat, qu’elles seront à la prouchaine diètte, et si seront plus obligéz et volentaires de soy y treuver, mais le plustôt faire ledit recès sera le mieulx, car tant plus tardera l’on, plus tard viendront icelles parties à ladite diètte.

Depuis, Sire, mesdites précédantes les commis des duc de Saxen et lantgrave de Hessen, ausquelx j’avoye baillé le saulfconduit pour leurs maistres, m’ont remonstré aucuns articles, dont ilz veullent plus expressément estre assheuréz, qui à la vérité ne semblent de prime face exhorbitans selon les termes, èsquelz ilz se retrouvent tant à cause de la lighe d’entre votre Mté et les catholiques que les propoz, que l’on tient de faire guerre en la Germanie. La résolution a esté, Sire, entre nous, qu’ilz envoyeroient ledit saulfconduit à leursdits maistres et les exhorteroient de non faillir à soy trouver personnellement à ladite diètte, ce qu’ilz m’ont promis, et de faire tout bon office en l’endroit de leursdits maistres comme aussi j’ay à eulx, que je tiendray main devers votredite M, qu’elle baillera telle provision sur lesdits articles, que leursdits maîtres auront raisonnable occasion d’en estre contens et se pourra faire, quant votre dite Mté approuchera, que je me trouveray devers elle, si elle ne s’en veult plustôt terminer.

J’ay entendu, Sire, qu’ilz sont advertis, 〈que les ducs de Bavière sont asseuréz jusques à huit mille de chevaulx et que iceulx protestans l’ont conprouvé pour les avoir à droit propoz, fait requérir les vouloir servir, dont ilz se sont excuséz à la cause susdite, et l’afferment fort lesdits protestans, toutesfois je n’en ay riens entendu ne y voi apparance, sinon parce que le commis du duc Loys de Bavière m’a dit naguères, que leursdits maîtres demourroient avec votredite Mté et ne vous déffauldroient gens pour faire la guerre, mais je ne l’ay voulsis demander, qui les payeroit, qu’est le fort〉.

A ceste occasion lesdictz protestans 〈dient le pys qu’ilz peuvent desdits de Bavière et qu’ilz ont practiqué n’a pas long temps de prendre intelligence avec eulx remonstrans, qu’il ne failloit que la Germanie se perdit à cause de la religion, et entremeslent lesdits protestans la maulvaise voulenté, que lesdits de Bavière ont à votredite Mté et le roy des Romains, dont je me desvelope le mieulx que je puis〉.

Lesdits protestans tiennent une diètte au pays de Saxen2 et à tout ce que j’en ay peu entendre c’est pour l’assistance des Gousselariens,  qui sont mis au ban impérial3. Et si il ne se mest quelque suspension jusques après la prouchaine diètte en cedit ban et semble quant aux procès fiscaulx et autres, dont lesdits protestans se plaindent, il fait à doubter, qu’il n’en advienne quelque motion et fascherie et s’en pourroit empescher ou retarder ladite prouchaine diètte, et fauldra, que votredite Mté en parle à Spire à ceulx de ladite chambre impériale bien expressément et aussi de l’autre ban contre Mastrecht, car comme l’on a veu parcydevant, ilz ont fait peu de compte de ce que votredite M leur a escript, et me doubte aussi peu feront il[z] de ce que je leur en remonstreray.

Aussi, Sire, le 〈chancellier du lantgrave m’a envoyé monstrer par manière de confidence ung escript, qu’il avoit fait pour son maître touchant l’accord avec votre M〉, par lequel il mectoit, que luy perdonniés dois maintenant et quictiés tout ce qu’il avoit mesfait envers votredite Mté et le roy des Romains absolutement, actendu ce qu’il promectoit faire tout ce qu’il pourroit pour l’accord du différent de la religion. Surquoy je luy en ay envoyé ung autre en latin comme estoit le sien, dont j’envoye à votre M la translation en françois, duquel il a monstré d’arrivée estre fort mal content pour austant que tout ce que j’ay fait et faisoye avec luy, estoit condicionné, si ledit accord se faisoit, disant que desià votredite Mté pouvoit veoir la bonne voulenté de sondit maître et l’aventure, où il se mectoit de perdre tous ses amys et que ledit seigneur roy des Romains luy avoit desià pardonné tout le passé et que demourant ledit lantgrave en ceste craincte du coustel de votredite M il ne scauroit bien faire. Toutesfois je l’ay radoulcy et contenté le mieulx que j’ay peu luy remonstrant, que sondit maître mesmes ne se vouloit desjoindre davec les autres protestans touchant le fait de la religion et que le dit chancellier avoit tousjours demandé, que votredite Mté perdonna tout le passé et 〈reprint le dit lantgrave〉 en singulière grâce, ce que votredite M ne pourroit honnestement faire ny en bonne raison, mesmement quant à l’affaire de la religion demourant le dit affaire comme il est 〈et ledit lantgrave〉 colligué avec les autres protestans, mais que je tenoye comme pour tout certain, que votredite Mté entendant la bonne voulenté dudit 〈lantgrave〉 et moyennant ce qu’il promectoit de faire tout ce qu’il pourroit pour ledit accord, luy perdonneroit voulentiers tout ce, qu’il l’avoit peu mesprendre parcydevant envers votre dite M, horsmis ce que concerne ladite religion. Et ay bien entendu, que il persiste à cela principallement doubtant de estre en très grande indignacion de votredite Mté à cause de 〈Wirtemberg〉 et me semble, que votredite M le luy peult bien pardonner, puisque desià le dit seigneur l’a fait et en a traité avec le duc tenant maintenant le dit 〈Wirtemberg〉 et que l’avez appreuvé. Et sans cela, Sire, je tiens, qu’il ne fera chose, que vaille, et encoires avec cela ne scay je, que Dieu en donra.

En oultre, Sire, j’ay sceu, qu’il est icy venu ung françoys de Provence4 remonstrer ausdits protestans, comme le roy de France a fait procéder par les justices de Provence et de Languedoc contre les luthériens, qui se sont trouvés ès dits pays en nombre comme afferme ledit françoys de plus de quatre mil, dont plusieurs sont esté exécutéz, aucuns encores prisonniers et les autres banniz et fugitifz et leurs biens confisquéz. Et a fait le dit françoys très grande instance pour envoyer de la part desdits protestans ambassadeurs devers le dit seigneur roy, mais ceulx, qui sont icy, s’en sont excuséz par les remonstrances, que j’ay fait et fait faire par tierce main à aucuns d’eulx, et ont respondu, que cela n’estoit en leurs pouvoirs, et ont remis le dit françoys à leursdits maîtres et ne scayvent, si ilz accorderont d’envoyer ambassadeurs, pour austant que cest affaire leur est fort grief et pesant et de grande desréputacion à leurs nouvelle foy et occasion à aucuns autres de se séparer ou non se conjoindre avec eulx, combien que ceulx, à qui j’en ay fait tenir propoz et fait parler, ont promis de tenir main envers leursdits maîtres pour empescher, que l’on n’envoye aucung ambassadeur, mais seullement messagier avec lettre et mesmes pour non soy mectre en plus grande malvueillance et suspicion envers votredite M. Et est venu en taille, que l’évesque Paulus Vergerius s’est venté de ladite ambassade comme l’ayant procuré et je n’ay failly de le dire et faire remonstrer, dont il est plus odieux aus dits protestans.

Le conte Guillaume de Fustemberg5 [sic!] fut devant hier en ceste ville et me vint trouver environ les sept heures du soir m’ayant fait préadvisé une heure avant par ung sien nepveur, filz du conte Frédéricq, son frère, et me dit, que estant venu à Spire pour soy descharger et justiffier de ce que l’on l’avoit voulsu charger en son honneur touchant l’emprinse contre Rottewil. Il estoit passé expressément jusques icy, non pour autre cause que de me veoir pour la congnoissance, qu’avions heu du passé ensemble, et m’ayant comme il disoit trouvé homme de bien et véritable avec semblables parolles assez prolixes et me remonstrer le grant tort et injure, que luy fesoient lesdits de camerin et qu’il ne pouvoit penser, que votredite Mté voulsit, que les gentilzhommes fussent ainsi traictéz et injuriéz, me priant tenir main envers icelle, afin que son honneur luy fut réparé, et que je y fisse office que la raison et justice requéroient, me conjurant dadvantaige de la congnoissance, que de long temps avions heu ensemble.

Je luy merciay, Sire, sa visitation et luy certiffia, que je n’avoye ouy par avant parle[r] de ceste poursuytte à l’encontre de luy et que votredite Mté ne vouloit, que l’on fit tort ny à gentilhomme ny à personne autre que ce fut et moins à personnaige de telle qualité et le pouvoye asseuré, que n’aviés riens sceu de la dite poursuytte et que vous remectiés de la justice à ceulx, qui en avoient la charge, et que néantmoins je tiendroye voulentiers la main, que tort ne luy fut fait ny desraison. Et en ce propos il adjousta, qu’il pouvoit mieulx faire service à votredite M que le camerin, à quoy je ne luy respondis rien, pour ce que le comte Guillame de Ebrestain [sic!]  estoit avec luy, doubtant que ce ne fut quelcung, qu’il heust amené pour faire son prouffit du coustel de France de mes parolles, et ainsi nous deppartismes.

Depuis, Sire, le secrétaire du roy des Romains Symandres6 estant icy fut le matin devers luy, lequel vit, qu’il parloit aux gens du duc de Saxen et, comme il entrevuyt de loing, ouyt, qu’il estoit question de l’accord de la religion et que ledit conte Guillaume leur disoit, qu’ilz se pouvoient fier et tous les protestans de ce que je leur diroye, mais il ne peust entendre dadvantaige riens du propoz, qu’il tenoit en allemant avec les dessus dits.

Et depuis qu’ilz furent partiz, ledit conte appella icelluy secrétaire et luy dis, qu’il avoit regret de ce qu’il ne m’avoit compté le soir devant le combat, qu’il pourchasse à l’encontre de Monsrle connestable de France, pour lequel il avoit dépesché devers le roy demander saulfconduit pour envoyer ses gens pour traicter la manière du dit combat et qu’il s’en iroit en Lorrainne pour estre plus prèz, mais il ne déclaira les parolles du dit combat ny en quoy il le fondoit ny passa plus oultre. Il dit dadvantaige au dit secrétaire, que pour la confidence, qu’il avoit heu cydevant à moy il m’eust voulentiers parlé plus familièrement, ce qu’il n’avoit peu faire honnestement pour la présence dudit conte, et démonstroit d’estre mal content de France, disant qu’il avoit esté mal traicté et emprisonné, dont il ne se pouvoit encores reavoir, et que il se délibéroit de non jamais aller en guerre, n’estoit à l’encontre du Turcq, mais je crois, que ce fut pour le mieulx tout bien pensé, que la chose est ainsi passée entre luy et moy, car il est personnaige, qu’il fait son prouffit du tout, et il me sembloit, que ès propos, qu’il me tenoit, qu’il estoit empesché et non tant arresté que je l’ay veu cydevant et, s’il a quelque bonne voulenté, il la fera entendre plus expressément et selon ce et que l’on verra le temps et les occurrans, l’on y aura regard. Le dit conte de Ebrestain dit aussi audit Symandres, que ledit conte Frédéricq de Fustemberg, luy et autres parens du conte Guilliaume estoient après pour le retirer du tout du dit France, l’on verra qu’il en sera.

Au surplus, Sire, le duc Frédéricq palatin m’a aujourd’huy dépesché ung homme exprès icy, par lequel il m’escript, que le duc de Wirtemberg avoit envoyé devers l’électeur palatin pour l’advertir, qu’il se trouveroit voulentiers à Heydelberg, lorsque votre Mté y seroit, s’il pensoit, qu’elle ne le print mal, dont les dits électeur et duc désiroient avoir mon advis, à quoy j’ay respondu, que je pensoye bien, que venant votredite M pour la pacifficacion de la Germanie et mesmes pour tenir la prouchaine diètte, où tous les princes et estats sont appelléz et peullent librement comparoitre, que ne prendriés mal la venue dudit duc de Wirtemberg et tant plus en la maison dudit électeur, mais que pour estre chose de ceste qualité je ne me pouvoye advancer d’en bailler exprès advis sans l’avoir consulté avec votredite M, devers laquelle je dépeschoye pour autres affaires et l’en advertiroye et ayant responce la feroye scavoir ausdits électeur et duc. Et peult sembler soubz le bon plaisir de votredite M, qu’elle ne peult honnestement reboutter la venue dudit duc de Wirtemberg et que il ne pourroit venir devers votredite Mté plus convenablement que audit Heydelberg et selon, Sire, que verriez lors sa voulenté, vous regarderiés, s’il debvroit venir à la prouchaine diètte ou non. Et comme j’ay entendu 〈il se treuve perplex pour non estre bien avec France ny avec son propre filz et en extrême ennemytié avec les ducs de Bavière et si se doubte de non estre agréable aux protestans ny autres estans de la Germanie et redoubte, que votre M et le roy des Romains ne voulsissiés en ceste conjoincture faire quelque emprinse à l’encontre de luy. Entre autres parolles, que ledit conte Guillaume de Fustemberg a tenu audit Simandres, il luy a dit, que ledit duc de Wirtemberg avoit eu très grand plaisir d’une gracieuse lettre, que ledit seigneur roy des Romains luy avoit naguières escript〉.

Le duc Frédéricq m’a escript, qu’il iroit au devant de votredite Mté pour l’accompaigner jusques audit Heydelberg et doislà à Nyeufmart7, où il a fait grosses aprestes pour recepvoir votredite M, ce que je tiens il face de très bonne et cordiale affection envers votredite M, combien que pour non riens délaisser de ce 〈que je puis entendre, plusieurs de ses gens mesmes disent, qu’il est destruict pour les services de votre M, et d’autres m’ont averty, mesmement l’ambassadeur dudit seigneur roy des Romains, que aucuns des plus confidens dudit duc, ausquelz il a congnoissance, dient, qu’il est très mal content, que n’est de merveilles, selon que à la vérité il est très fort en arrière et qu’il ne peult avoir les royaulmes de Dennemarke, au recouvrement desquelz je ne voy à la vérité apparence quelconque. Et aussi m’a l’on dit, que le dit électeur et ses aultres frères font leur compte, que, si l’accord de la religion se doit faire, que ce sera par leurs moyens, que votredite Mté fera bonne partie de ce qu’ilz vouldroient avant la conclusion. Et me semble, qu’il n’y avoit que bien, que votre M entende ce que dessus pour estre préadvisé sans toutesfois riens croire au désavantaige du dit seigneur duc〉.

J’ay receu, Sire, ung pacquet du roy des Romains adressant au licenciado Gamez, que je luy envoye par ce mesmes pourteur et ay mis avec ceste une copie des lettres, que ledit seigneur roy m’a envoyé avec les siennes, afin que, si ledit licenciado n’estoit devers votredite M, qu’elle puisse veoir les nouvelles de ce coustel là.

Anmerkungen

1
 Teilweise chiffriert und von der Hand des Kopisten dechiffriert. Die chiffrierten Passagen sind in spitze Klammern gesetzt.
2
 Schmalkaldischer Bundestag in Naumburg, 19. Dezember 1540 – 16. Januar 1541.
3
 Die am 25. Oktober 1540 vom Reichskammergericht über die Stadt Goslar verhängte Acht wurde am 28. Januar 1541 vom Kaiser suspendiert.
4
 Guillaume Farel. Vgl. Winckelmann, Pol. Corr. Straßb., Bd. III, Nr. 154, S. 142–143 und Nr. 159, S. 150–151, hier S. 150.
5
  Gf. Wilhelm von Fürstenberg, Söldnerführer, zeitweise in französischen Diensten, vgl. Wagner, Johannes Volker: Graf Wilhelm von Fürstenberg 1491–1549 und die politisch-geistigen Mächte seiner Zeit, Stuttgart 1966 (Pariser Historische Studien Bd. 4).
6
 Desiderius de Symandres, burgundischer Sekretär Kg. Ferdinands I. Vgl. Bauer, Wilhelm/Lacroix, Robert (Hrsg.): Korrespondenzen österreichischer Herrscher. Die Korrespondenz Ferdinands I., Bd. II,1–2: Familienkorrespondenz 1527–1530, Wien 1937–1938 (Veröffentlichungen der Kommission für Neuere Geschichte Österreichs Bd. 30 und 31), Bd. II,1, S. 222 Anm. zu Nr. 189und Bd. II,2, Nr. 308, S. 428.
7
 Neumarkt/Oberpfalz.